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15 septembre 2018

Rouyn-Noranda vu par… Valérie Lemay

Valerie Lemay

©Photo gracieuseté - Valérie Lemay

Valérie Lemay croit que Rouyn-Noranda a tout à offrir.

Issue des communications, Valérie Lemay a occupé des emplois gratifiants dans son domaine et y a vu l’opportunité d’y vivre une carrière stimulante dans sa région natale. C’est pourquoi elle a choisi de s’établir à Rouyn-Noranda. 

Un souvenir qui vous rappelle votre enfance et qui est rattaché à Rouyn-Noranda? 

Comme je viens de Taschereau, en Abitibi-Ouest, mes parents et moi venions souvent. Voir la vue des Collines D’Alembert m’impressionnait. Je pense aussi aux grandes cheminées de la Fonderie Horne ou encore aux installations de Radio-Nord. Je me voyais déjà lectrice de nouvelles. 

Quelque chose ou un moment que vous aimeriez revivre à Rouyn-Noranda? 

Le spectacle de Patrick Watson, chanteur originaire de la Californie, mais qui vit à Montréal, qui s’était déplacé au FME, il y a quelques années, et qui avait offert une prestation surprise à l’ancienne gare de train, tout près de l’actuelle Fonderie Horne. C’était magique! 

Un personnage marquant de Rouyn-Noranda? 

Réal V. Benoit. J’adore le country, et le rythme des chansons de cet ancien mineur abitibien est très intéressant. Pour l’avoir déjà rencontré, c’est un homme bien sympathique. Il mérite d’être connu. 

Un endroit favori à Rouyn-Noranda? 

Le Vieux-Noranda. J’y habite et j’aime bien profiter des attraits qu’offre le quartier, dont les boutiques, comme La Semence ou encore Aux Vieux Meubles. Il y a aussi toute cette fibre culturelle et historique que j’apprécie beaucoup. 

Qu’est-ce qui fait la réputation de Rouyn-Noranda au niveau du tourisme? 

Ses nombreux festivals font de Rouyn-Noranda une plaque tournante pour la culture. Je suis très fière de tous ceux et celles qui prennent le temps de se déplacer ici pour venir découvrir une ville où les gens débordent d’idées et sont accueillants. Il ne faut pas oublier tous les bons restaurants que nous avons, qui sont un plus. 

Votre resto favori à Rouyn-Noranda? 

Le Paramount. Les plats que concocte la chef Jézabelle sont succulents. Les propriétaires sont exceptionnelles et elles ont vraiment le souci du détail. Si j’avais été dans la restauration, j’aurais voulu que mon resto ressemble à celui-là. 

L’artiste que vous appréciez le plus à Rouyn-Noranda? 

Anodajay. Je me rappelle d’une entrevue qu’il avait accordée à France Beaudoin, en 2006, dans le cadre de «Bons baisers de France» sur les ondes de Radio-Canada. Il avait fait un discours assez élogieux sur la région, et ça m’avait vraiment marquée, à tel point que j’ai décidé de revenir m’établir ici, après mes études à Montréal. 

Quel est le secret le mieux gardé à Rouyn-Noranda? 

La Friperie 255 du Centre Bernard-Hamel est digne de mention. Il y a de belles trouvailles et en plus, les sous qui sont récoltés s’en vont directement à sa banque alimentaire. 

Quel est le principal défi que Rouyn-Noranda doit relever? 

Attirer de la main-d’œuvre. Même si nous devenons de plus en plus attrayants, il faut continuer à parfaire notre image. Il faut consolider notre sentiment d’appartenance, parce que lorsqu’on est fier d’où nous venons, en plus de faire de nous des ambassadeurs, ça fait du bien à l’âme. 

Quel avenir entrevoyez-vous pour Rouyn-Noranda? 

Je vois une nouvelle vague d’immigration. On a tout à offrir et en plus, dans le passé, on a déjà été très cosmopolite. Une ville qui va continuer à avoir un bel équilibre entre la nature et la culture. 

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