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21 octobre 2018

Patrick Rodrigue - prodrigue@lexismedia.ca

Trois piliers pour garantir l’avenir de l’UQAT

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©Jocelyn Bernier/UQAT

Selon le recteur, Denis Martel, la force de l’UQAT réside dans la volonté constante de repousser les limites. «Pour citer Nelson Mandela, nous ne perdons jamais: soit nous gagnons, soit nous apprenons», déclare-t-il.

Si l’UQAT a été fondée sur trois piliers, c’est avec trois autres piliers tout aussi importants qu’elle assurera son avenir.

Lorsque le réseau de l’Université du Québec a été mis sur pied, il y a 50 ans, l’objectif consistait à former des infirmières et des travailleurs sociaux, des administrateurs et des enseignants afin de répondre aux besoins importants ciblés partout au Québec, incluant l’Abitibi-Témiscamingue. Lorsqu’elle a fait ses premiers pas, le 19 octobre 1983, l’UQAT s’est inscrite dans cette mouvance. Au fil du temps, elle a développé des expertises en foresterie, dans les mines et auprès des Autochtones. De l’avis du recteur actuel, Denis Martel, c’est aussi ce qui lui garantira un futur prometteur.

«Ce qui nous distingue, c’est qu’au lieu d’étudier la forêt, les mines et les Autochtones, nous travaillons avec eux. De plus, nous réussissons à intégrer l’élément environnemental dans tout cela. Nous avons créé une manière de travailler unique en son genre, comme en fait foi la qualité de nos recherches, qui est reconnue mondialement. Ça nous confère une solide crédibilité», fait-il valoir.

Exclusivités

L’UQAT se démarque également par des champs de compétence exclusifs, dont une formation en art-thérapie et un programme de création et nouveaux médias. «Ce que nous avons bâti commence maintenant à être copié par d’autres universités, mais nous demeurons les leaders», assure M. Martel.

À cet égard, le recteur croit que l’UQAT se dotera d’autres spécialisations exclusives au cours des prochaines années. «Nous avons des professeurs pleins de bonnes idées. Cet esprit de découverte, c’est ce qui fait notre force. Quand on nous soumet une idée, on ne répond pas "pourquoi?", mais plutôt "pourquoi pas?"», illustre-t-il.

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