Carrières dans votre région Avis de décèsÉdition Électronique Rabaischocs.com

Recherche

Recherche par terme

Journaliste

Date de parution

_

Catégories

Économique

Retour

10 décembre 2018

Professionnalisme, partenariat et plaisir en affaires

Productions Trois Tiers veut devenir une référence en production vidéo

AB-3tiers

©Photo L’Éclat/Le Citoyen – Anne Blondin

Nicolas Tremblay, Alain Bergeron et Vincent L’Heureux ont mis sur pied les Productions Trois Tiers qui se spécialisent dans la production vidéo.

À la suite de la fermeture de l’entreprise pour laquelle ils travaillaient, Nicolas Tremblay, Vincent L’Heureux et Alain Bergeron ont choisi de se relever les manches et de fonder, à la mi-septembre, leur propre entreprise en production vidéo.

:«En travaillant déjà dans le domaine, nous savions qu’il y existe une demande pour cela et que nous serions en mesure de la combler. À nous trois, nous cumulons trente ans d’expérience. Nous nous sommes dit que c’était notre chance», a expliqué Nicolas Tremblay copropriétaire des Productions Trois Tiers.

Même si tout s’est enchaîné très rapidement, il n’était pas question pour les trois partenaires d’affaires de prendre des décisions précipitées. Partir en affaires peut être dur sur les nerfs, mais ce n’est pas ce qu’ont ressenti les trois acolytes.

«C’était moins stressant parce qu’on savait ce qu’on allait faire, a poursuivi Nicolas Tremblay. Alain et moi collaborons depuis sept ans. On savait qu’on travaillerait bien ensemble. On a le même genre de vision du travail, ce qui nous permet d’avancer et aller plus loin. La même chose s’est produite avec Vincent, même si l’on travaillait ensemble depuis moins longtemps.»

«On a le même genre de vision du travail, ce qui nous permet d’avancer et aller plus loin» - Nicolas Tremblay  

Rapidement dans le feu de l’action

Productions Trois Tiers se spécialise dans la production vidéo de qualité professionnelle pour les entreprises de la région.

«Il existe un standard de qualité dans la région qui s’est établi avec les entreprises en place, a souligné Vincent L’Heureux. On veut poursuivre dans cette même veine et même devenir la référence en postproduction. Nous avons de beaux défis qui nous attendent.»

Pour y parvenir, il a fallu que les trois entrepreneurs se jettent rapidement dans le feu de l’action.

«Au-delà de prendre le risque de se lancer en affaires, cela a été relativement simple, a poursuivi Vincent. Nous avons eu la chance de recevoir de l’aide de la SADC pour faire l’achat d’équipements pour opérer. Nous avions également de très bons contacts, lesquels nous ont permis de trouver un local rapidement afin de commencer nos opérations.»

Pour les trois associés, le succès réside dans leur capacité de communiquer entre eux et de se consulter avant de prendre des décisions. «Le défi va être de continuer de garder ce style de communication, même si les choses vont vite pour nous», a confié Vincent.

Trouver un nom

Le premier nom qu’ils avaient envisagé pour leur entreprise a été refusé. Il a donc fallu retourner à la table de conception afin de trouver une raison sociale qui collerait bien aux trois partenaires d’affaires. Après un mois d’hésitation, c’est leur ami Alexandre Castonguay qui a trouvé l’idée autour d’une bière.

«Alexandre est arrivé avec l’idée des trois tiers, a raconté Nicolas. À partir de là, on a trouvé plein de déclinaisons. Dans une image, il y a trois champs. Pour créer une image, ça prend trois couleurs.»

«Nous avions aussi trois valeurs fondamentales en lançant notre entreprise: professionnalisme, partenariat et plaisir, a lancé Vincent L’Heureux. Tout tournait autour du chiffre trois et le nom trouvé par Alexandre a créé une unité. Il y avait aussi nous, le projet à réaliser et le client.»

Commentaires

11 décembre 2018

Michel Bélanger

Avec Vincent L'Heureux ces presque impossible de ce tromper. Bravo les gars.

Inscrivez votre commentaire

Politique d'utilisation Politique de confidentialité

Agence Web - Caméléon Média