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14 mars 2018

La guitare sous toutes ses expressions

©Photo La Frontière/Le Citoyen – Marie-Eve Bouchard

Dans sa 14e programmation, le Festival des Guitares du monde en Abitibi-Témiscamingue (FGMAT) compte bien entendu sur des valeurs assurées telles Joe Satriani, mais aussi sur plusieurs nouveaux visages qui seront à découvrir.

Cela fait d'ailleurs la fierté de la responsable de la programmation, Valérie Coulombe. «Notre objectif est toujours d'offrir de bons spectacles avec une variété d'artistes de calibre international, provincial et aussi local. Je suis très contente de l'équilibre que nous avons cette année entre des artistes bien établis et d'autres nouveaux visages qui, depuis que je les ai signés pour la programmation, commence à faire parler d'eux», a-t-elle indiqué.
Vendredi et samedi
Le public aura droit à un spectacle d'avant-festival, le vendredi 25 mai, avec le groupe local Lubik, bien connu pour son rock décapant. Le spectacle officiel d'ouverture sera offert par Valerie June, alors que la tête d'affiche du Festival, le maître Joe Satriani fera salle en comble en soirée au Centre de Congrès.
Dimanche
Le groupe montréalais Cherry Chérie sera de passage au Petit Théâtre pour présenter ses propres compositions alors que l'Agora des Arts présentera le spectacle de Christine Tassan et Les Imposteures, un quatuor féminin de jazz manouche, dans une soirée fort prometteuse intitulée Félix et Django, laquelle rend hommage à Félix Leclerc et Django Reinhardt. Première supplémentaire à vie pour le Festival, Joe Satriani remontera sur la scène, cette fois du Centre de congrès. Il reste d'ailleurs quelques billets.
Soirs de semaine
Les soirs de semaine seront bien remplis avec la présence d'abord de Philippe B and The Alphabets (28 mai), une prestation spécialement conçue pour le FGMAT, où la guitare sera mise à l'honneur accompagnée de plusieurs instruments.
Le mardi, au tour de la guitare plus technique avec le Canadien Ewan Dobson et l'Italien Luca Stricagnoli.
Le mercredi soir proposera d'abord Yiannis Kapoulas, un multi-instrumentiste au son du monde entier, puis la guitariste canadienne Lindsay Ell. «C’est une étoile montante du genre country qu'on compare beaucoup à Shania Twain. Elle a joué aux côtés de grands du genre comme Keith Urban, Carrie Underwood et Brad Paisley», souligne Valérie Coulombe.
Jeudi, vendredi et samedi
Le 31 mai, on pourra voir et surtout entendre Jamie Dupuis, originaire de Sudbury en Ontario, avec sa guitare harpe, de même que le guitariste classique québécois Thierry Bégin-L. La soirée sera complétée par Jack Broadbent. «C’est un spécialiste de la slide guitar. Il est d'ailleurs considéré comme le meilleur au monde et surtout un excellent bluesman», assure la directrice de la programmation.
Le weekend sera lancé par Daran et son doux pop-français, alors que la harpe électrique, un instrument à cordes qui a peu visité le FGMAT, sera mise à l'honneur avec Edmar Castañeda. La soirée sera clôturée par le retour de Ruthie Foster avec son blues-gospel. «C'était une demande de nos spectateurs et ce fut un de nos coups de cœurs dans l'organisation à l'époque», s'enthousiasme Valérie Coulombe.
Le Festival se terminera avec la pop onirique d'Elliot Maginot et la guitariste Mia Dyson, considérée comme l'une des meilleures d'Australie de tous les temps. «Elle a d'ailleurs été poussée sur les médias sociaux par P!nk», précise Mme Coulombe.
Finalement, sorti directement des églises des États-Unis, le célèbre Robert Randolph, en compagnie de son Family Band, électrisera les derniers moments du FGMAT 2018 avec sa soul et sa maîtrise de la pedal steel guitar, le samedi 2 juin à 21h au Centre de congrès.
Les billets sont en vente sur le site web du FGMAT au fgmat.com/billetterie
 

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