Hockey
Retour05 juillet 2018
Jean-François Vachon - jfvachon@lexismedia.ca
«Il fitte dans le décor» - Jacques Blais
Le président des Huskies heureux de son embauche
©Jean-François Vachon - Le Citoyen Rouyn - La Sarre
Le président des Huskies Jacques Blais était heureux d'annoncer l'embauche de Mario Pouliot.
Pour le président des Huskies, Jacques Blais, le choix de Mario Pouliot n’a pas été très difficile.
«On a travaillé quatre ans avec lui. C’est un ancien Husky. Il connaît tout le monde dans notre organisation. C’était un choix facile», a indiqué Jacques Blais.
L’exil de Mario Pouliot avec Acadie-Bathurst lui aura permis d’acquérir de l’expérience. «Pour nos partisans, c’est quelque chose parce qu’il a gagné la Coupe Memorial. On ne l’a pas engagé pour ça, mais il arrive avec une bague au doigt et ce n’est pas tout le monde qui peut s’en vanter», a lancé le président des Huskies.
Jacques Blais a tenu à remercier le directeur général de la formation acadienne, Sylvain Couturier. «C’est un gentleman. Il nous a donné la permission presque tout de suite», a-t-il évoqué.
L'adjoint au directeur général, Daniel Paradis, et le dépisteur chef de l'équipe, Daniel Leblanc, ont fait partie du comité de sélection.
À la André Tourigny
Le président des Huskies considère que Mario Pouliot est de la même école qu’André Tourigny.
«Une partie de hockey, ça ne se finit pas quand la partie se termine. Ils restaient une heure, deux heures, trois heures devant leurs ordinateurs. Ce sont des travaillants. Ils ont cette mentalité-là. Il suffit de voir les exploits de Garry Parke, qui est passé par cette école avec les Citadelles midget espoir. C’est la philosophie de notre organisation» - Jacques Blais
Pour ce dernier, le choix de Mario Pouliot était logique. «Il <@Ri>fitte<@$p> dans le décor», a-t-il affirmé.
Les anciens d’abord
Pour dénicher leur nouvel entraîneur, les Huskies ont d’abord vérifié dans leur cour. «On ne voulait pas aller voir ailleurs. On a regardé dans les gens qu’on connaissait comme Jason Fortier et Mario Duhamel», a souligné le président de l’organisation rouynorandienne.
«On n’avait pas besoin de c.v. On connaît leurs qualités et leurs défauts. Ce sont tous de bonnes personnes qui auraient aussi pu faire le travail», a-t-il ajouté.
Il faut dire que Jacques Blais n’est pas partisan des changements d’entraîneurs. «Changer d’entraîneur, c’est un cauchemar», a-t-il confié.
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