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31 août 2018

La campagne électorale de Jeremy Bélanger

Jeremy Bélanger

©Photo gracieuseté - Jeremy Bélanger

Le candidat caquiste dans Rouyn-Noranda-Témiscamingue veut demeurer un député à l’écoute de sa population.

Nouveau visage dans la sphère politique de Rouyn-Noranda-Témiscamingue, Jeremy Bélanger souhaite mettre sa polyvalence au profit de la circonscription en se faisant élire comme député caquiste le 1er octobre.  

Ingénieur mécanique de formation, M. Bélanger souhaite mettre le développement régional à l’avant-scène tout au long de sa campagne lors de ses rencontres avec la population. «Même si je n’ai pas de local de campagne, je vais me déplacer et être beaucoup présent sur les réseaux sociaux. J’en suis un adepte. Je veux rencontrer les élus municipaux et me déplacer aux événements sportifs», laisse-t-il savoir. 

Affronter l’expérience 

Âgé dans le début de la trentaine, il ne croit pas que son manque d’expérience en politique jouera contre lui, mais plutôt en sa faveur, même s’il est conscient qu’il se mesure à Luc Blanchette et Gilles Chapadeau, deux hommes ayant occupé la fonction de député. 

«J’ai eu un bel accueil de la part de la population. Je suis quelqu’un d’intègre et d’honnête. C’est un métier palpitant, que je suis prêt à relever», fait-il valoir. 

«Les gens vont pouvoir avoir une image claire de mes propositions» - Jeremy Bélanger

Bilan libéral 

Les décisions du gouvernement libéral, considérées par M. Bélanger comme une volonté de centralisation, ont été néfastes pour la circonscription. Il est déçu que le député sortant, Luc Blanchette, n’en ait pas assez fait pour défendre les intérêts de la région. 

«Juste dans le dossier du complexe sportif de Rouyn-Noranda, il n’a pas été le lanceur de ballon qu’il aurait dû être auprès du gouvernement. Les politiques de centralisation des libéraux ne tenaient pas compte de la réalité de la région», soutient-il. 

M. Bélanger tient à rappeler que son parti en est un de décentralisation, et de pouvoirs pour les régions du Québec. 

Clarté des engagements 

Le candidat promet qu’il dévoilera son prospectus d’engagements régionaux pendant l’élection. «Les gens vont pouvoir avoir une image claire de mes propositions, mais je veux attendre d’aller les rencontrer et de discuter de leurs priorités», explique-t-il. 

D’abord pour la région 

Advenant son élection le 1er octobre, M. Bélanger assure qu’il ne se gênera pas pour tenter de renverser une décision d’un gouvernement caquiste ne profitant pas à la région. 

«Il est certain qu’il y a certains dossiers où c’est un peu plus complexe, car on tente d’englober les intérêts de tout le Québec, mais j’ai une philosophie très régionale. Je vais donc être très à l’aise de défendre mon point de vue pour le bien de la région», laisse-t-il entendre. 

L’aspirant au poste de député conclut en affirmant qu’il restera à l’écoute de chaque personne lui faisant part d’un enjeu ou d’une préoccupation, et qu’il veut avant tout que les citoyens aient confiance en lui.  

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