Hockey
Retour28 janvier 2019
Jean-François Vachon - jfvachon@lexismedia.ca
Les Gaillards s’accrochent aux séries
©Jean-François Vachon - Le Citoyen Rouyn - La Sarre
Les Gaillards ont réussi à mettre un terme à leur séquence de défaites en prenant la mesure des Cougars du Collège Champlain-Lennoxville.
Les Gaillards du Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue restent dans la course aux séries dans le circuit collégial. Une victoire in extremis obtenue contre les Cougars du Collège Champlain-Lennoxville les place à trois points d’une place en séries.
«On est heureux d’être encore dans la course, mais on ne regarde pas le classement. On y va un jour à la fois», a indiqué l’entraîneur Richard Schoeneich.
Les Gaillards présentent une fiche de 10 victoires et 18 défaites, dont deux en surtemps, ce qui leur donne un total de 22 points. Les Dragons du Collège-Laflèche occupent le 10e rang et dernière place donnant accès aux séries avec 25 points.
Les choses simples
Samedi, les Gaillards ont fait preuve de caractère en créant l’égalité grâce à un but de Jérôme Cousineau-Marcoux (14e) avec deux minutes à faire au match pour forcer la tenue de la prolongation.
«On a gardé les choses simples. On a vraiment joué de la façon dont on veut jouer et ç’a payé. On a bien protégé Maxence Duchesne et il a fait les gros arrêts. Notre échec avant a été excellent. On a réussi à créer beaucoup de revirements», a indiqué Richard Schoeneich.
Olivier Lamothe (7e) a été l’autre marqueur.
Plus complexe
Le lendemain, toujours face aux Cougars, les Gaillards ont cependant éprouvé plus de difficulté s’inclinant 7 à 1.
Pourtant, en première période, après que Charles Désilets (7e) ait réduit l’écart à 2 à 1, les Témiscabitibiens ont raté une belle occasion en désavantage numérique qui aurait pu créer l’égalité. Ils ont ensuite raté une autre occasion, cette fois en avantage numérique quelques moments plus tard.
«Si on marque, la partie n’est pas la même. On a joué de la bonne façon, mais leurs troisième et quatrième buts nous ont vraiment fait mal. Malgré tout, on a continué à travailler, mais notre échec avant a été moins efficace», a expliqué Richard Schoeneich.
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