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Retour26 septembre 2019
Un Salon de la femme qui frappe dans le mille
L'événement pourrait devenir annuel à Amos
©gracieuseté - Frédérique Larochelle
Les coorganisatrices du Salon de la Femme de l’Abitibi, Charlène Gilbert et Frédérique Gauthier.
À sa deuxième édition, le Salon de la Femme de l’Abitibi a de nouveau frappé dans le mille, attirant plus de 170 visiteurs par une des plus belles journées de la saison, le 21 septembre, à l’Hôtel des Eskers d’Amos.
«C’est autant d’entrées qu’en 2017. Pour nous, c’est un beau succès, surtout avec la belle journée qu’il y avait à l’extérieur. Tout s’est très bien déroulé. Les exposantes sont très contentes et parlent déjà presque toutes de revenir. On en est à se poser la question si on en fait un événement annuel ou si on le poursuit aux deux ans», souligne Charlène Gilbert, qui a organisé le Salon cette année avec sa fondatrice, Frédérique Gauthier.
Pour cette deuxième édition, le Salon de la Femme a accueilli pas moins de 39 exposants. «Notre but, c’est d’offrir une nouvelle vitrine aux entreprises de l’Abitibi-Témiscamingue, de faire rayonner les femmes entrepreneures de la région. Oui, c’est très féminin, mais on avait aussi le designer Master Bougaricci comme invité spécial, qui a été le coup de cœur de pas mal tout le monde, et le tatoueur Maxime Frigon sur place», fait valoir la coorganisatrice, qui remercie les visiteurs, les bénévoles et les commanditaires du Salon, dont les deux majeurs, Familiprix et l’Hôtel des Eskers.
©gracieuseté - Frédérique Larochelle
L’invité spécial Master Bougaricci en compagnie de la coorganisatrice Charlène Gilbert.
Au niveau des activités, le Salon de la Femme a présenté une conférence de Johanie Bellemare St-Georges, une entrevue TED Talk avec Master Bougaricci (webdiffusée par MédiAT), une prestation acoustique en direct de Véronique Lemay et un atelier Pound Rockout Workout avec Charlène Gilbert et Marie-Claude Desbiens.
De nombreux prix de présence ont été tirés. Le Salon s’est aussi engagé à remettre 1 $ par billet vendu à la Maison Mikana, qui vient en aide aux femmes victimes de violence et leurs enfants.
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