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03 octobre 2019

Thierry de Noncourt - tdenoncourt@lexismedia.ca

Les préfets déposent quatre demandes aux candidats

Élections fédérales 2019

Route 117 Cote Joannès

©Photo L’Éclat/Le Citoyen – Thierry de Noncourt

L’amélioration de la route 117 demeure une priorité en Abitibi-Témiscamingue.

La Conférence de préfets de l’AT a identifié quatre enjeux prioritaires pour la région et les a transmis aux candidats aux élections fédérales dans le but d’obtenir des engagements concrets de leur part.

«Nous ne comptons plus les citoyens qui nous interpellent par rapport à la route 117. À titre de Transcanadienne, le fédéral doit y mettre du sien aussi» - Pierre Corbeil

Claire Bolduc, présidente de la CPAT et préfète du Témiscamingue, a expliqué que la région parlait d’une seule voix et que la campagne électorale était le moment tout indiqué pour rappeler ces priorités. 

NavCanada 

Certaines de ces demandes seraient assez simples à réaliser pour le gouvernement. «Le dossier de NavCanada n’exige que du leadership de la part du gouvernement, et nous attendons toujours des réponses définitives à cet effet», a indiqué Diane Dallaire, mairesse et préfète de Rouyn-Noranda. 

Route 117 

De nombreux accidents, trop souvent mortels, se produisent sur la route 117. « Nous ne comptons plus les citoyens qui nous interpellent par rapport à la route 117. À titre de Transcanadienne, le fédéral doit y mettre du sien aussi», a fait valoir Pierre Corbeil, préfet de la Vallée-de-l’Or. 

Internet et cellulaire 

Les besoins en télécommunications sont criants et font l’objet de demandes incessantes. « Les programmes disponibles pour améliorer la desserte cellulaire et internet en région feront-ils l’objet d’assouplissements afin que nos réalités soient enfin prises en considération?», a questionné Sébastien D’Astous, préfet d’Abitibi. 

Abattoir régional 

Dans le même ordre d’idées, mais demandé depuis beaucoup plus longtemps, la région a besoin un abattoir pour répondre à ses propres besoins. «Nos éleveurs, qui désirent commercialiser leurs produits, doivent utiliser les services d’un abattoir fédéral situé à quelque 750 km de la région, ce qui représente un trajet aller-retour de 1500 km. La réglementation doit être adaptée. Ce dossier doit arrêter de traîner en longueur et exige un véritable leadership», a conclu Claire Bolduc. 

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