Violence et intimidation: bilan stable pour la CSLA

Trois écoles ont déclaré des rapports de violence fréquents

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Trois écoles de la CSLA ont déclaré des rapports de violence verbale ou physique fréquents en 2017-2018. Ceux-ci incluent les cas de vandalisme.

Alors que certaines écoles de la Commission scolaire du Lac-Abitibi (CSLA) ont amélioré leur bilan en la matière durant l’année 2018-2019, d’autres ont vécu plus d’événements liés à l’intimidation et la violence.

C’est surtout au niveau de l’intimidation qu’il y a eu le plus de changements. L’école Dagenais a amélioré son bilan puisqu’en 2017-2018, elle avait compté quelques rares cas d’intimidation, mais en 2018-2019, aucun cas n’a été déclaré. Même scénario pour l’école du Royal-Roussillon, qui n’a pas eu de cas déclarés d’intimidation au cours de la dernière année.

Deux écoles ont vécu le phénomène inverse, soit l’école Boréale et celle de L’Envol. Alors qu’elles n’avaient eu aucun cas déclaré en 2017-2018, il y en a eu l’année suivante.

«Ce n’est pas un problème majeur au niveau de nos écoles, a expliqué Isabelle Godbout, directrice générale de la CSLA. C’est un phénomène de société qui s’observe chez nous, mais ce sont des événements très peu présents.»

Trois écoles ont aussi déclaré des rapports de violence (verbale, physique, vandalisme) fréquents en 2017-2018, soit Dagenais, de L’Envol et de Bellefeuille. Les deux dernières écoles présentaient toujours le même problème en 2018-2019, mais l’école Dagenais a réussi à faire baisser le nombre de déclarations. En revanche, le nombre d’événements violents à l’école Boréale a augmenté.

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