Carrières dans votre région Avis de décèsÉdition Électronique Rabaischocs.com

Recherche

Recherche par terme

Journaliste

Date de parution

_

Catégories

Magazine L'AT en affaires

Retour

11 novembre 2020

Pension chez Mamie Kong est née d'un besoin du milieu

Publireportage

Mamie Kong

©Citoyen Rouyn

Joanne Marquis, une passionnée d’animaux, avait noté qu’il y avait une demande grandissante dans la région pour le service de pension pour chiens et chats.

Joanne Marquis, une passionnée d’animaux, avait noté qu’il y avait une demande grandissante dans la région pour le service de pension pour chiens et chats. Tant et si bien qu’elle a finalement inauguré Pension Mamie Kong le 31 décembre 2015.

«Je voulais faire quelque chose qui me ressemble , relate Joanne Marquis, propriétaire de l’entreprise . Mais je souhaitais également partir du bon pied en suivant les règles de l’art. C’est pourquoi j’ai fait appel au MAPAQ pour obtenir tous les permis requis.»

Entre temps, Joanne Marquis et son conjoint ont écumé les régions du Québec pour en apprendre davantage sur les pensions du genre qui existaient déjà. Et question de donner le meilleur à la clientèle, ils ont suivi diverses formations en comportement canin dont l’une avec le réputé éducateur canin Jean Lessard. D’autres formations telles sauvetage animal et reiki pour chiens s’ajoutent au bagage de connaissances sur lequel s’appuie l’entreprise.

Ajuster l’expansion à la demande

Lorsque Pension Mamie Kong a ouvert ses portes à la fin de l’année 2015, sa capacité d’accueil ne dépassait pas cinq chiens en même temps. Toutefois, la demande a été si forte que moins d’un an plus tard, de nouveaux aménagements s’imposaient.«Nous avons alors entrepris des travaux dans l’un de nos bâtiments pour pouvoir accueillir les gros chiens, a poursuivi Joanne Marquis. Ceux-ci ont été achevés en 2018. Il s’agissait d’enclos individuels intérieurs avec fenêtre à guillotine donnant accès à un enclos extérieur individuel lui aussi. Chaque enclos est doté d’un plancher chauffant pour l’hiver. Un échangeur d’air en fonction tout au long de l’année permet de rafraîchir les installations avec un air conditionné durant l’été.»

Faits saillants

Actuellement, Pension Mamie Kong a la possibilité d’accueillir entre 22 à 25 chiens de grande race, des chiens de petite race et des chats. La clientèle provient bien sûr de toute la grande région de l’Abitibi- Témiscamingue, mais peut tout aussi bien arriver du Nord-Est ontarien, et d’aussi loin que Montréal, Gatineau et même de Sept-Îles sur la Côte-Nord.

«La pension offre différents forfaits, passant d’une journée jusqu’à quelques semaines, selon les besoins de la clientèle, a précisé Joanne Marquis. Nous accommodons les propriétaires d’animaux lorsqu’ils doivent s’absenter pour le travail, pour les vacances ou même pour des traitements médicaux.»

Fait intéressant à noter pour les propriétaires d’animaux domestiques, le souci de Joanne Marquis est que votre animal n’éprouve aucune difficulté d’adaptation lors de son séjour à la pension. Un service personnalisé est offert à chaque animal. C’est la pension qui s’adapte à chaque animal et non l’inverse. Pour Pension Mamie Kong, chaque animal est unique et c’est pris au sérieux.

«Nous respectons les limites de l’animal et les demandes du propriétaire, a rappelé Mme Marquis. Nous fonctionnons en petit groupe en respectant la taille, l’âge, la santé, le niveau d’énergie et de stress de l’animal. Selon la demande du propriétaire, certains chiens n’auront aucun contact avec les autres. Les médicaments sont administrés toujours à la demande du propriétaire. Nous prenons du temps avec les clients pour leur faire visiter les lieux afin de les rassurer et de laisser leur animal se familiariser lui-même avec ce nouvel environnement. Cette étape vise à faciliter son intégration et permet de diminuer son stress lors de son arrivée et tout au long de son séjour.»

Outre tous les petits soins dispensés à ses pensionnaires petits et grands, ce qui frappe lorsqu’on s’entretient avec cette entrepreneure passionnée, c’est l’amour incommensurable qu’elle porte aux animaux de compagnie. À preuve, cet amour transparaît même dans le choix du nom de l’entreprise.

«En octobre 2011, nous avions adopté King Kong, un énorme Landseer âgé de 10 mois, a relaté Joanne Marquis. Il est entré dans notre famille à la suite du décès de notre Bouvier bernois. Sa grosse face de gorille impressionnait énormément notre petit fils Lucas qui était âgé de 16 mois à l’époque. Il a alors commencé à nous appeler Mamie et Papy Kong. Quand est venu le moment de donner un nom à l’entreprise, le choix s’est fait tout naturellement.»

Politique d'utilisation Politique de confidentialité

Agence Web - Caméléon Média