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25 décembre 2020

Patrick Rodrigue - prodrigue@lexismedia.ca

Revue de l'année - mars 2020

Construction route

©Photo Hebdo Rive Nord-archives

Alors que s'achève une année 2020 qui n'aura pas été de tout repos, Le Citoyen vous propose un retour sur les événements qui ont retenu l'attention des médias et de la population de la région au cours des 12 derniers mois. Aujourd'hui, le mois de mars.

135 M $ sur les routes… en théorie

Le 3 mars, le ministère des Transports annonce que plus de 135 M $ devraient être investis sur les routes de la région d’ici 2022. Trois chantiers se démarquent du lot. Un premier, de l’ordre de 10 M $ à 25 M $, prévoit plusieurs travaux d’asphaltage dans la Réserve faunique La Vérendrye. Jusqu’à 11 M $ sont aussi planifiés pour la réfection et l’asphaltage de la route 117 à Malartic ainsi que la construction d’un nouveau tronçon de route. Enfin, le Ministère envisage l’aménagement d’une nouvelle voie de dépassement sur la route 117 dans le secteur de Cadillac. Les travaux doivent débuter en 2020, mais la pandémie de COVID-19 qui se déclare au Québec dix jours après l’annonce vient compromettre plusieurs chantiers.

La COVID-19 n’épargne pas la région

Élément incontournable de l’année 2020 à travers la planète, la COVID-19 n’épargne pas l’Abitibi-Témiscamingue. Après l’imposition de l’état d’urgence sanitaire, le 13 mars, quatre premiers cas d’infection dans la région sont confirmés le 23 mars. Huit jours plus tard, à la fin du mois, on en dénombre déjà 34. Les cas bondissent alors de manière exponentielle jusqu’au 10 avril, après quoi la situation se stabilise progressivement, avec un à trois nouveaux cas chaque jour. En parallèle, pratiquement toutes les entreprises et industries doivent suspendre leurs opérations, plongeant la région dans un silence rarement observé, alors que les rues sont à peu près désertes.

Sept ans de pénitencier pour sept ans d’agressions

Le 16 mars au Palais de justice de La Sarre, après avoir plaidé coupable le 15 janvier, Réal Paul est condamné à une sentence de sept ans de pénitencier pour huit chefs d’agression sexuelle sur une victime qui était mineure au moment des faits. La peine imposée par la juge Denise Descoteaux est supérieure de deux années à la sanction minimale obligatoire prévue par la loi. Réal Paul est également inscrit à vie au Registre national des délinquants sexuels. Les éléments rapportés au tribunal font état de près de 80 gestes posés sur un horizon de sept ans, de 2010 à 2017. Le rapport présentenciel et l’évaluation psychosexuelle démontrent une absence de remords et peu d’empathie envers la victime, qui avait porté plainte en 2018.

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