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04 novembre 2021

Jean-François Vachon - jfvachon@lexismedia.ca

El olvido que seremos triomphe au FCIAT

Pour une deuxième année consécutive, un film de langue espagnole remporte la palme

El olvido que seremos FCIAT

©Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue

Pour une deuxième année consécutive, c’est un film issu de l’Amérique du Sud qui a remporté le Grand Prix Hydro-Québec du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. El olvido que seremos racontant l’histoire du docteur Hector Abad Gonzalez a su conquérir le cœur du public témiscabitibien.

Pour une deuxième année consécutive, un film issu de l’Amérique du Sud a remporté le Grand Prix Hydro-Québec récompensant le meilleur long métrage selon le public. «El olvido que seremos», un film colombien, a fait chavirer le cœur des Témiscabitibiens.

Ce film racontait l’histoire tragique du docteur Hector Abad Gomez qui a lutté pour une meilleure justice sociale en Colombie. À travers les yeux de son fils, le public a pu découvrir ce personnage marquant de l’histoire colombienne.

Rappelons que l’an dernier, le film argentin La odisea de los Giles de Sebastian Borensztein l’avait emporté

Le film «I never cry» de Piotr Domalewski, racontant l’histoire Olka, une jeune Polonaise qui se rend en Irlande pour ramener le corps de son père, ainsi que «La révision» de Catherine Therrien où un professeur de philosophie et une étudiante s’affrontent intellectuellement dans le contexte d’une révision de notes ont terminé 2e et 3e.

Prix du jury

Le prix Bell, remis au meilleur court ou moyen métrage, a été remis au film belge «Se battre encore» d’Arthur Lecouturier. Le jury a souligné que ce film était touchant, qu’il portait un regard sensible et qu’il rappelait que l’amour était une des meilleures raisons d’aller de l’avant. Le jury a aussi octroyé une mention à Frimas de Marianne Farley.

«France» de Bruno Dumont s’est pour sa part mérité le prix Médiafilm – Robert-Claude-Bérubé remis au long métrage se démarquant par son apport au progrès humain et à la reconnaissance de valeurs éthiques, sociales et spirituelles. Le jury a soutenu que ce film était un portrait puissant de la femme moderne et du système qui l’entoure et de l’instrumentalisation de la guerre. Une mention a été accordée à «Tout s’est bien passé» de François Ozon.

Finalement, le jury jeunesse du Prix Fonderie Horne composé d’Antoine Lacroix, de Mégane Brunet et de Léonie Poirier a décerné le grand prix au film «Migrants» de Hugo Caby, d’Antoine Dupriez, d’Aubin Kubiak, de Lucas Lermytte et de Zoé Devise. Ce film a aussi remporté le prix TVA Abitibi-Témiscamingue remis au meilleur film d’animation.

«Nous avons été séduits par la texture des personnages d’ours en laine et par la beauté des décors, surtout celui de la forêt. Par-dessus tout, nous avons été émus par le message du film sur l’acceptation des autres et c’est pourquoi nous l’avons choisi», a souligné le jury.

Le jury jeunesse a aussi octroyé une mention d’honneur à Parapluie d’Alvaro Robles et José Prats.

Espace court

Du côté d’Espace Court, le prix Spira récompensant le meilleur court métrage québécois a été remis à «Les grandes claques» d’Annie St-Pierre. Le jury a octroyé une mention au film «Joutel» d’Alexa-Jeanne Dubé.

Le prix Télébec, remis par le public d’Espace Court, a pour sa part été remporté par «Opération Carcajou» de Nicolas Krief.

Finalement, les prix de la relève Desjardins ont été remis à «En huit temps» de Magalie Ouimet ainsi que «La livraison» de Maxim-Olivier Lavallée.

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