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27 juin 2022

Pierre-Olivier Poulin - popoulin@medialo.ca

Un début de saison estivale en grande pompe pour Tourisme Val-d’Or

Un engouement créé par la fin des mesures sanitaires

Tourisme Val-d'Or

©Instagram/Tourisme Val-d'Or

La fin des mesures sanitaires a donné un nouvel élan au bureau touristique de Val-d’Or.

TOURISME - La fin des mesures sanitaires dans les dernières semaines à fait gonfler l’achalandage touristique sur le territoire de Val-d’Or.

Selon les premiers chiffres compilés par Tourisme Val-d’Or, la clientèle extrarégionale a grimpé de 53% lors du mois de mai et de 16% lors du mois de juin. Des chiffres qui donnent beaucoup d’espoir, alors que les gros festivals et activités du côté de la Vallée-de-l’Or arrivent sous peu, au mois de juillet. 

«Ce qui va aider, c’est qu’il n’y aura plus de restriction, donc on revient dans une certaine forme de normalité. Le fait qu’il n’y a pas eu d’événements lors des deux dernières années fait en sorte que nous avons des programmations exceptionnelles pour tous les festivals», illustre la directrice générale de Tourisme Val-d’Or, Nancy Arpin. 

La majorité des visiteurs des autres régions du Québec sont concentrés autour de l’Abitibi-Témiscamingue (Outaouais, Laurentides, Laval, etc.). L’allègement des mesures sanitaires pour les voyages en avion pèse aussi dans la balance. Tourisme Val-d’Or constate le retour de nombreux voyageurs arrivés de France. 

Alors que la Gaspésie et la Côte-Nord étaient les coqueluches des vacanciers québécois lors des étés 2020 et 2021, l’Abitibi-Témiscamingue reçoit enfin sa part du gâteau grâce à ses grands espaces, ses activités en plein air et son éloignement des grands centres. 

«On avait aussi notre lot de visiteurs, mais on en entendait moins parler. Ce qui s’est passé au bureau d’information, c’est qu’on a eu moins de gens de l’Abitibi-Témiscamingue, car on avait développé des alternatives en ligne. Par contre, on a eu le même nombre de visiteurs, mais on avait comblé la baisse régionale avec la hausse des autres régions», analyse Mme Arpin.  

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