07 décembre 2022

Hugo Saez - hsaez@medialo.ca

Partager sur les réseaux sociaux

©Photo Le Citoyen - Hugo Saez

Ici les yeux rivés sur la suite de la saison, Thomas Verdon a notamment hésité avec la Chine dans le cadre d’une potentielle année vécue à l’extérieur du Canada.

« Depuis le début de l’année, tous nos jeunes ont vraiment bien progressé et prennent plus de place dans l’équipe (…) Thomas Verdon joue maintenant sur l’avantage numérique et prend plus de situations offensivement », soulignait Brad Yetman lors de son bilan du tiers de saison à l’égard de son nouveau centre de 17 ans. Né au pays de l’Oncle Sam et plus précisément à Cleveland, Thomas Verdon connaît sa première saison en LHJMQ au sein de l’effectif des Huskies, bien qu’il ait déjà pris part à plusieurs oppositions au cours de la saison dernière. Ancien pensionnaire du Rousseau-Royal de Laval-Montréal, celui qui mesure 5’11 pour 175 livres comptent bien peser dans le succès de son équipe. Son arrivée dans la meute fait l’unanimité auprès de ses coéquipiers et Benjamin Brunelle l’avait notamment désigné de « taquin ». Un sens de l’humour validé par certains mais qui fait toutefois moins rigoler ses adversaires sur la glace lorsque ces derniers sont contraints de défendre sur lui. Ses objectifs pour cette saison ou encore sa colocation avec Louis-Philippe Fontaine : Thomas Verdon a accepté d’en dévoiler un peu plus sur sa vie en dehors d’une patinoire de hockey. 

Pourquoi tu pratiques le hockey et non un autre sport ? 

Ce ne serait pas par rapport au hockey, mais plutôt par rapport aux joueurs. Avec tous les joueurs, dans toute ma carrière, on a toujours eu une bonne chimie et puis l’atmosphère a toujours été bonne. La plupart des joueurs avec qui j’ai joué sont comme devenus mes amis. 

Le temps des Fêtes de fin d’année approche à grand pas, quel serait ton cadeau idéal pour Noël ? 

Avant, c’est sûr que c’était toujours des bâtons de hockey. Mais là, l’équipe nous en donne, ce qui fait que je vais peut-être demander du linge. 

Si tu étais un animal, lequel serais-tu ? Pourquoi ? 

Je pense que je serais une girafe parce qu’elles sont immenses et grandes. Je ne suis pas grand et j’aimerais l’être. 

Imaginons que l’apocalypse zombie arrive. Quelles sont les trois personnes que tu sélectionnes dans ton équipe et pour quelles raisons ? 

Je prendrais Brunelle en premier, parce qu’il est quand même costaud et il pourrait me défendre. Sinon je prendrais aussi Kyle Hagen parce que c’est un bon protecteur. Il aide toujours et il ferait beaucoup de bouffe et plein de choses pour nous donc ce ne serait pas pire. Et pour terminer le troisième ce serait Gill parce qu’il nous garderait toujours calmes. 

Quels sont tes objectifs pour cette saison, à la fois sur le plan personnel et collectif ? 

C’est sûr que sur le plan collectif, c’est de remporter la coupe du Président et la Coupe Mémorial. On a un bon groupe et je pense que nous sommes capables de le faire. Sinon sur le plan personnel, j’essaye de bien jouer mon rôle dans l’équipe pour aider le plus possible à avoir du succès. 

Si tu avais la possibilité de partir vivre un an à l’étranger, vers quelle destination te tournerais-tu ? Pourquoi ? 

J’irais en France parce que c’est un peu différent du Canada. Il fait chaud, et j’aime faire du ski. Il y a les Alpes donc tu peux faire un peu des deux, l’hiver et l’été. 

Comment se passe la colocation avec Louis-Philippe Fontaine ? 

Ça se passe vraiment bien. On se connaissait déjà avant puisqu’on avait fait un tournoi un été donc on était déjà des amis et on se parlait sur nos téléphones. 

Par hasard, est-ce que tu aurais un secret à nous révéler sur Louis-Philippe Fontaine ?  

Il n’est pas très bon à NHL, ce qui fait que je le bats souvent ! (rires)