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26 octobre 2023

Chloe Pronovost - cpronovost@medialo.ca

Un documentaire pour célébrer les 40 ans de l’UQAT

Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue

dominic leclerc

©Gracieuseté - Le Citoyen Rouyn - La Sarre

Dominic Leclerc sur le plateau de tournage du documentaire Défier l’impossible.

Le documentaire Défier l’impossible de Dominic Leclerc sera projeté sur grand écran, pour la toute première fois, dans le cadre de ces festivités rouynorandiennes. 

Le cinéaste Dominic Leclerc n’a plus besoin de présentation. Originaire de la région, il apporte une grande visibilité au territoire grâce à ses nombreuses œuvres. Dominic Leclerc a plusieurs cordes à son arc qui l’amène à créer des films qui se distinguent par notamment la qualité de l’image.

« Je pense avoir réussi à faire un film qui s’écoute bien, qui a un aspect parfois ludique tout en étant informatif. Il y a un côté divertissant à ce film-là qui est artistique et ludique », précise le réalisateur. Dominic Leclerc produit des films depuis 2008 et il cumule plus de 5 passages au Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. Le 30 octobre prochain, il présentera, en première mondiale, son documentaire de 30 minutes sur l’histoire et les défis relevés par l’UQAT depuis sa fondation en 1983.  

L’histoire d’une institution témiscabitibienne 

Défier l’impossible c’est 17 entrevues marquantes qui tracent le chemin parcouru par cette institution depuis maintenant 40 ans. À travers le documentaire de 30 minutes, on découvre le témoignage d’anciens recteurs et rectrices de l’UQAT, de diplômés de l’UQAT, d’étudiants, de professeurs, de pionniers, etc.

« Les entrevues que j’ai réalisées ont toutes une durée d’environ 1h30, donc ça m’a fait beaucoup de stock, beaucoup d’histoires. Ça a été beaucoup de sacrifices, parce qu’il fallait résumer ces entrevues-là en 30 minutes. Le but c’était l’essence de qu’est-ce qu’est l’UQAT plutôt que d’en faire l’historique. Je voulais m’asseoir sur l’histoire pour parler de l’UQAT aujourd’hui et sentir la vibe de cette université-là. À chaque rencontre, j’étais surpris et on avait de belles discussions. »

Selon l’artiste, grâce à ce documentaire, le public témiscabitibien pourra prendre conscience des racines de cette institution du territoire. « Il y a des institutions comme l’UQAT que l’on tient pour acquises, elles sont là. Par exemple, quelqu’un qui est venu au monde dans les années 1990-2000 ne peut pas savoir à quel point des gens se sont battus pour avoir cette université-là. On vit dans un monde où il n’y a rien d’acquis, il y a tellement d’affaires qui bougent, donc de se rappeler à quel point c’est important et pertinent c’est fondamental, je pense. »

Dominic Leclerc nous confie également se sentir privilégié et honoré de participer, encore une fois, à ce Festival « qui n’a rien à envier aux festivals métropolitains » et d’avoir la chance de rassembler plus de 700 personnes devant ce projet qui lui tient à cœur.  

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