Projet Eau Claire: Fury Gold demeure confiant

Résultats de forage

©Fury Gold

Vue en plan du corridor Percival, montrant les deux trous de forage testant les anomalies biogéochimiques prioritaires par rapport à 2023, 2022 et les intersections de forage historiques.

L’entreprise Fury Gold confirme avoir frappé des teneurs allant jusqu’à 279 grammes/tonne d’or sur 1.5 mètre dans la zone Percival de son site Eau Claire, situé dans le secteur de la Baie James.

La compagnie a dernièrement rendu publics les résultats de 5 de ses trous de forage, ce qui inclus des mesures de 2.68 g/t sur 5 mètres et 2.31 g/t sur 7.5 mètres.

Les résultats d'un seul trou testant le prolongement vers l'est du même intervalle de 2022 ont rencontré de larges zones de minéralisation supplémentaires, dont 48.5 mètres à 0.86 g/t d'or, 16.5 mètres à 1.42 g/t d'or, ainsi que 11.55 g/t d'or sur 1.5 mètre, et 1.09 g/t d’or sur 1.09 mètre.

« La zone Percival a été un objectif important pour Fury étant donné son potentiel de découverte supplémentaire. Les résultats d'aujourd'hui sont passionnants dans la mesure où ils représentent la troisième intersection à plus haute teneur signalée pour l'ensemble du projet Eau Claire et la plus éloignée à l'est, nous donnant une confiance renouvelée dans nos hypothèses géologiques », a commenté le PDG de Fury Gold, Tim Clark, par voie de communiqué.

« Pour l'avenir, nous avons encore 3 700 m de résultats de forage supplémentaires en attente à Percival, y compris deux trous ciblant des anomalies biogéochimiques plus à l'est de Percival Main. Quant à la ressource Eau Claire, notre foreuse reste en service avec des résultats supplémentaires attendus dans les semaines et mois à venir. »

La compagnie confirme du même coup que la zone Percival, située à 14 kilomètres à l'est du gisement Eau Claire, est l'un des principaux contrôles de la minéralisation aurifère dans la région.

La minéralisation aurifère à Percival Main est actuellement représentée par une empreinte de 500 mètres sur 100 mètres, l'or à haute teneur étant défini jusqu'à 300 mètres sous la surface, encaissée dans des corps de brèche plissés sulfurés et silicifiés.

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