Bagels Le Trou ouvre une nouvelle succursale à Rouyn-Noranda

  • Publié le 3 févr. 2025 (Mis à jour le 23 mai 2025)
  • Lecture < 1 minute

Depuis le 16 janvier 2025, les amateurs de bagels peuvent savourer les célèbres créations montréalaises, fraîchement préparées et roulées à la main, dans la plus pure coutume. 

L’ouverture de ce récent lieu fait revivre une tradition ancrée dans la culture de Montréal, où le bagel est bien plus qu’un simple mets : il fait partie du patrimoine culinaire.  

Chaque bagel est minutieusement façonné à la main, cuit dans un four à bois, et offert aux clients dans toute sa fraîcheur. 

« Pour nous, il était important de faire de vrais bagels de Montréal, tout en mettant en valeur les spécificités de la région. », déclare Philip Bradley, l’un des trois nouveaux propriétaires de la succursale de Rouyn-Noranda. 

Damien Cussac ajoute : « L’immense succès de l’ouverture a montré que nous avions vu juste en travaillant avec la famille Bradley. Nous avons même eu du mal à produire suffisamment de bagels la première semaine ! Ceci nous dit que ce projet n’est que le début d’une toute nouvelle aventure d’expansion au Québec ! »  

Image

La nouvelle boutique, située au 50 rue Gamble Ouest, est ouverte du lundi au vendredi de 7 h à 17 h, et la fin de semaine de 8 h à 16 h. Fondée en 2019, Bagels Le Trou est reconnue pour la qualité de ses produits et son savoir-faire exceptionnel. 

 

Articles les plus consultés

Photo Médialo — archives.
Actualités

Perquisition de stupéfiants à Rouyn-Noranda

La Sûreté du Québec a effectué, le 11 juin, une perquisition en matière de stupéfiants dans une résidence, avenue Murdoch, à Rouyn-Noranda.
Gracieuseté.
Actualités

Ce père de 6 enfants : « On a laissé faire la nature »  

Luc Lavoie travaille pour la municipalité de Val-d’Or mais se trouve aussi à la tête d’une belle petite troupe familiale forte de 6 enfants.
Photo Médialo — archives. 
Actualités

La Fonderie Horne vise 15 ng/m³ d’arsenic pour Aeris

La Fonderie Horne renonce à implanter le projet Aeris jugé irréalisable, et vise une concentration annuelle de 15 ng/m³ pour ledit projet.