Clôture triomphale de la 43e édition du Festival international du Cinéma en A-T

  • Publié le 1 nov. 2024 (Mis à jour le 23 mai 2025)
  • Lecture : 2 minutes

La 43e édition du Festival international du Cinéma en Abitibi-Témiscamingue s’est achevée en beauté, célébrant le talent et la créativité de cinéastes d’ici et d’ailleurs.  

Cet événement, devenu un incontournable du calendrier culturel régional, a attiré un large public avec une programmation riche et variée tout au long de sa durée, du 21 au 31 octobre. 

 

Lors de la soirée de clôture, plusieurs artistes talentueux ont été récompensés pour leurs contributions exceptionnelles au septième art.  

 

Cette manifestation emblématique a réuni des cinéastes de tous horizons, offrant une plateforme pour des créations qui captivent et inspirent. 

 

Parmi les lauréats, le Grand Prix Hydro-Québec a été décerné à Prodigieuses, réalisé par Frédéric et Valentin Potier, une œuvre qui a su séduire le jury par sa créativité et son originalité. En ce qui concerne les courts et moyens métrages, « Le petit panier à roulettes » de Laurence Ly, une réalisation qui a touché le cœur du public, a reçu le Prix CRAVE. 

Le Prix Médiafilm Robert-Claude Bérubé a récompensé « L’histoire de Souleymane de Boris Lojkine », un film poignant qui aborde des thèmes sociaux contemporains. De plus, le Prix animé TVA Abitibi-Témiscamingue a été remis à « Peut-être des éléphants » de Torill Kove, une œuvre qui a su capturer l’imagination des petits comme des grands. 

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Gagnant du Prix CRAVE

Dans la catégorie de la relève, le Prix de la relève Desjardins a honoré deux productions : Silentium d’Alex Nolan et Corrosion de Manon Lefébure, démontrant ainsi l’émergence de nouvelles voix prometteuses dans le paysage cinématographique. 

Le Festival a également mis en avant les productions de série courte, avec le Prix Fonds Bell décerné à « La dernière communion d’Eli Jean Tahchi », qui a captivé les spectateurs par son approche novatrice et émotive. 

En parallèle, le 22e Espace court a célébré des œuvres qui méritent également d’être reconnues. Le Prix Télé-Québec a été attribué à « Les fleurs sauvages » de Rodolphe Saint-Gelais et Thierry Sirois, tandis que le Prix Unis TV a été décerné à « L’avant-dernière fois que j’ai fait caca dans mes culottes » de Sébastien Landry, une comédie qui a su faire rire et réfléchir. 

Enfin, le Prix Vital a été remporté par « Mercenaire » de Pier-Philippe Chevigny, une œuvre audacieuse qui aborde des thématiques complexes avec sensibilité. 

Cette 43e édition du Festival témoigne de la richesse et de la diversité du cinéma contemporain, tout en offrant aux artistes une plateforme pour exprimer leurs visions uniques. Les lauréats de cette année ont non seulement marqué le festival, mais ils promettent également d’enrichir le paysage cinématographique à l’avenir. 

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