Eska : une expertise prisée dans un domaine niché en plein essor

  • Publié le 21 mai 2024 (Mis à jour le 29 avr. 2025)
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Pierre-Olivier Poulin

IMMIGRATION – L’expertise des employés issus de l’immigration donne tout un coup de pouce à l’usine d’Eska d’Amos. En plus d’amener une saveur bien à eux dans le groupe d’employés, ils parviennent rapidement à s’établir comme des piliers au sein de l’entreprise d’eau embouteillée.

Face à des ambitions de développement et d’accroissement, Eska fait affaire depuis quelques temps avec une agence pour combler ses ressources humaines. 

Établie dans un secteur d’emploi relativement niché, l’usine abitibienne a des critères très précis. En plus de rechercher des travailleurs issus de la francophonie, elle cible des gens qui opèrent des machines semblables dans d’autres pays. Une fois installés en Abitibi-Témiscamingue, ces nouveaux arrivants nécessitent une formation beaucoup plus courte et peuvent développer plus rapidement une autonomie. 

«Ces gens arrivent avec une certaine expérience que l’on n’a pas dans cette région, dans ce secteur d’activités. Notre expertise, on l’a développée au fil du temps, à l’interne. En revanche, ces nouveaux arrivants viennent vraiment avec une certaine longueur d’avance», illustre la directrice ressources humaines & santé et sécurité chez Eska, Maude Gagnon. 

Selon la période de l’année, la proportion de la main-d’œuvre immigrante, principalement du Cameroun, varie. Trois nouveaux employés devraient se joindre à la compagnie, pour ainsi porter le nombre de nouveaux arrivants à une trentaine au sein d’Eska. 

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De gauche à droite : Chef Lance Haymond ; Chef Francis Verreault-Paul ; Manon Massé, porte-parole de Québec solidaire en matière de relations avec les Premières Nations ; la directrice générale de l’organisme Eau Secours, Rébecca Pétrin et le président de la Coalition canadienne de la responsabilité nucléaire, Docteur Gordon Edwards. 

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