Un financement de plus qui rapporte chez Rabaska

  • Publié le 6 déc. 2023 (Mis à jour le 29 avr. 2025)
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Pierre-Olivier Poulin

COMMUNAUTÉ – En marge des douze jours d’action pour l’élimination de la violence faite aux femmes, l’organisme Rabaska d’Amos voit une grande différence à la suite d’une hausse de son financement, en 2023. Un soubresaut qui a permis d’engager une nouvelle agente de liaison bilingue, en septembre dernier.  

Mis en place pour créer des contacts entre les sept communautés Anishnabe de la région, le nouveau volet de Rabaska veut quand même se garder un esprit ouvert afin de s’adapter aux différents besoins de ces groupes. 

«C’est un volet qui ne fait que démarrer, et nous espérons que nos actions nous permettrons de démontrer nos intentions de collaborations aux Premières Nations de la région», indique l’agente de liaison, Audrey-Anne Brouillette Dumouchel. 

Cette dernière s’engage également afin d’instaurer un bilinguisme au sein du regroupement, et ainsi continuer à offrir son aide à plus d’organismes dans la prévention des homicides intrafamiliaux.  

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De gauche à droite : Chef Lance Haymond ; Chef Francis Verreault-Paul ; Manon Massé, porte-parole de Québec solidaire en matière de relations avec les Premières Nations ; la directrice générale de l’organisme Eau Secours, Rébecca Pétrin et le président de la Coalition canadienne de la responsabilité nucléaire, Docteur Gordon Edwards. 

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